• Attention bishonen :o

    En ce nouveau mois qui débute, je reviens sur l’adaptation en film d'animation de Gekijouban Haikara-san ga Tōru Zenpen. L’intrigue se passe entre l’Ère Taishō (1912-1926) et l’Ère Shōwa (1926-1989) et nous pose une romance !

     

    Critique de Gekijouban Haikara-san ga Tōru ZenpenCritique de Gekijouban Haikara-san ga Tōru Zenpen

    AfficheTitre original : Gekijōban Haikara-san ga Tōru Zenpen - Benio, Hana no 17-sai / 劇場版 はいからさんが通る 前編 ~紅緒、花の17歳~

    Titre alternatif : Gekijouban Haikara-san ga Tōru Zenpen - Benio, Hana no 17-sai / Haikara-san ga Tooru Movie 1 : Benio, Hana no 17-sai

    Genres : comédie -romance – historique

    Studio d'animation : Nippon Animation

    Date de sortie : 2017 - 2018

    Durée : 1h30

    ❀Synopsis❀

     

    1920, empire du Japon,  Hanamura Benio à dix-sept ans, est un brin garçon manqué et à également, appris les arts martiaux. Benio veut absolument s'éloigner des traditions, qu'elle trouve désuètes. Cette envie de liberté se traduit notamment, par le fait qu'elle désire épouser un homme de son choix et non pas imposé par sa famille. Son père décide alors, de la fiancer au sous-lieutenant Ijuuin Shinobu, un militaire, dont les deux familles ont fait la promesse de se réunir. Benio refuse et décide avec l'aide de son ami d’enfance Fujieda Ranmaru de tout faire pour déplaire aux parents de ce dernier.

     

    ❀Seiyu principaux❀

     

     

     

    Film 1 

     

    Je ne connaissais pas l'anime des années 70-80 (Marc et Marie) et cela est une agréable surprise. L'histoire se situe dans un Japon en pleine essor économique, avec pour toile de fond la place de la femme dans la famille et la société ainsi que, son besoin de retrouver sa liberté. Un départ plutôt recherché et rudement efficace, l'héroïne étant amusante et attendrissante, tout comme les autres protagonistes. Le design quant à lui bien que, restant typique des shojo (manga pour jeune fille) est plaisant ! Hélas, si la première partie met en place le pitch, la seconde va trop vite en besogne, ignorant des passages méritant d'être développer...Bref, on apprécie ce premier volet pour sa période clé de l’histoire du Japon bien définie et son romantisme ! Pour ce qui est de la fin, celle-ci annonce une suite prometteuse !

     

    On se lâche après un petit verre xD

     

    Film 2 

     

    Nous reprenons là où nous avions laissé notre héroïne dans la tourmente. Ce second volet, est dans la lignée du précédent. Benio a toujours l’espoir de revoir son cher officier et part donc, à sa recherche. Le scénario manque toutefois, d’originalité comme on pourrait le reprocher à la plupart des shojo. Toutefois, on passe un agréablement moment, les seiyu transmettant les sentiments des personnages avec brio. Benio prend de l’assurance, se sacrifie par amour tout comme Shinobu. Bref, les épreuves sont importantes afin, de forger une relation de couple durable. Puisque qu’importe les épreuves ils rebondissent à chaque fois. Attention spoil : la scène finale est d’ailleurs un événement historique relatant le tremblement de terre du 1er septembre 1923 qui a sévit dans le Kanto. Elle est époustouflante de réalisme et de détails ! En conclusion, ce long-métrage enchantera les amateurs de belles romances mouvementés.

     

    Deux films d’animation qui valent le coup d’œil, pour les adeptes de romance et de fait historique !

     

    ❀Trailer

     

     


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  • Une bonne soupe de potiron, que l’on déguste aussi bien chaude que froide ! Un véritable régal pour ceux qui apprécient les courges. 

    Recette du Hobakjuk (porridge de potiron sucré)

     

    Recette du Hobakjuk (porridge de potiron sucré)

    (porridge de potiron sucré)

     

    Ingrédients ๑

     

    • 900 grammes de courge kabocha
    • 20 boules d’inbgsimi (facultatif)
    • 5 tasses d’eau
    • 1/3 de tasse de farine de riz
    • 3 cuillères à soupe de sucre brun
    • 3 cuillères à soupe de sucre blanc
    • 1 cuillère à café de sel
    • Une poignée de pignon de pin et de graines de sésame noir
    • 1 datte rouge (jujube) finement émincée

     

    Pour 4 à 6 personnes / Préparation : 1h15

     

    Recette du Hobakjuk (porridge de potiron sucré)

     

    1.  Débarrassez la courge des résidus de terre et coupez-là en gros morceaux avec un grand couteau. Retirez les graines et jetez-les.
    2. Placez les morceaux de courge dans une marmite et couvrez d’eau. Faites mijoter pendant vingt à vingt-cinq minutes à couvert.
    3. Tapotez la courge à l’aide d’une baguette et si celle-ci pénètre à l’intérieur arrêtez la cuisson. Retirez les morceaux et laissez les refroidir dans un saladier. Une fois qu’elle est manipulable, retirez la peau au couteau.
    4. Passez ensuite, la courge au blender avec quatre tasses d’eau jusqu’à obtenir une pâte bien lisse. Pendant, ce temps fouettez la farine de riz avec la dernière tasse d’eau.
    5. Versez la pâte de courge dans la marmite, l’eau farinée et l’ongsimi (petites boules de riz gluant). Portez le tout à ébullition puis baissez-le à feu moyen.
    6. Ajoutez le sucre brun, le sucre blanc et le sel et laissez mijoter en remuant jusqu’à obtenir une soupe épaisse et brillante.
    7. Parsemez de pignon de pin, de graines de sésame noir et du jujube avant de servir. Bon appétit !

     

    Recette du Hobakjuk (porridge de potiron sucré)

     

    Variante  si on n’a pas de courge kabucha, décliner la recette avec un potimarron, un potiron ou un butternut cela fera l’affaire. On peut également, remplacer la datte par un pruneau, de l’abricot, ou de la figue afin, de varier la recette.

     

    Source : Cook Korean


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  • Critique : Bromance

    Cette semaine, retour sur Bromance un drama taïwanais, sur la tolérance, les sentiments et l’homosexualité. Bien que l’un soit une femme, l’autre l’ignore et se pose alors, des questions sur l’évolution de leur relation !

     

    Critique : Bromance

     

    AfficheTitre original : Ai Shang Ge Men / 愛上哥們

    Titre alternatif : Bromance

    Genres : comédie - romance

    Chaîne de diffusion : SETTV

    Première diffusion : du 18 octobre au 21 février 2016

    Épisodes : 18 x 1h10

    Synopsis 

     

    À sa naissance, Pi Ya Nuo est promis à un bel avenir seulement, ce n'est pas le garçon tant attendu, mais une fille. Une voyante, annonce aux parents Pi que pour la survie de l'enfant, elle doit vivre comme un garçon durant ses vingt-cinq premières années. La jeune fille pourra ainsi, changer son sort et réclamer sa véritable identité. Condamnée à vivre comme un garçon, Ya Nuo garde ses distances avec autrui cependant, cela la rend irrésistible auprès de la gente féminine. Un jour, elle vient en aide à Du Zi Feng le chef d’une triade et à sa sœur, Du Zi Han. Alors, que Zi Han tombe amoureuse de Ya Nuo, Zi Feng devient alors, son « frère d'arme » et meilleur ami. Pourra-t-elle reprendre sa véritable identité ?

     

    Acteurs principaux 

     

     

    Critique : BromanceCritique : Bromance

     

    L’intrigue de cette série, propose d’y suivre une héroïne « travestie » en homme et un jeune P.D.G, un brin gangster. On y retrouve des thèmes récurrents, mais restant crédible. En effet, bien que l’on connaisse dès le départ le secret Ya Nuo,  nous ignorons quand il sera dévoilé. A travers, ce concept les adeptes de boy’s love apprécierons de pouvoir s’identifier à la jeune femme. Si la comédie se veut légère et drôle elle aborde toutefois des sujets sérieux. Zi Feng se posant des questions sur son attirance pour son « frère d’arme », ayant toujours été hétéro. Quant à celui devenu son assistant personnel, il est tiraillé par l’amour après l’avoir évité en plus, de voir son identité dévoilée si proche du salut. Chacun se retrouve alors, à devoir composer pour notre plus grand plaisir !

     

    Critique : Bromance

     

    Le couple principal offre une belle alchimie qui se ressent à l’écran, ils sont mignons avec un amour qui diffère des productions n’exploitant pas assez les sentiments. On notera également, que le second couple (Na Na et Qing Yang) soutien bien les vedettes, tout en ayant sa propre histoire. Si Na Na semble agaçante au début et Qing Yang trop distant par la suite, on finit par les apprécier. De même pour le dernier couple  (Guang Chao et  Zi Han) qui n'est pas si inattendu puisque plutôt prévisible. Pourtant, ils détendent l’atmosphère en jouant au jeu du chat et de la souris !

     

    Critique : Bromance

     

    Critique : Bromance

     

    La série est certes classique et déjà vu cependant, elle n’est pas dépourvue d’intérêt. Son scénario reste cohérent, ne perdant pas son objectif de divertir. De plus, on ne tombe pas dans des disputes et des réconciliations incessantes. Tous deux s’aiment et avancent ensemble, pour le meilleur et pour le pire. Un bon point pour le spectateur permettant ainsi, de ne pas voir passer les épisodes ! Les OST agréables sans être inoubliables, mais restant mélodieuses, nostalgiques  et en accord avec l’ambiance du récit. Globalement, on n’est pas déçu si l’on recherche une comédie pas trop compliqué et jouant sur l’ambiguïté des héros.

     

    Trailer 

     

     


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  •  Avis sur l'anime A Day Before Us

    En ce week-end pluvieux, je reviens sur un anime peu ordinaire : A Day Before Us ! Une production coréenne étonnante, courte, pleine de fraîcheur et de bon sentiment.

     

    Avis sur : A Day Before Us

     

    AfficheTitre original : Yeonaeharujeon / 연애하루전

    Titre alternatif : A Day Before Us

    Genres : comédie - romance

    Studio d’animation : Lico

    Première diffusion : 2018 - 2019

    Épisodes : 44 x 2 min

     

    •◦❥• Synopsis •◦❥•

     

    Nous suivons le quotidien de quatre étudiants coréens : Yeon Woo, Ha Eun, Kim Wook et Yeo Reum.
    Yeon Woo un jeune homme réservé et mystérieux. Ha Eun, elle sous son air distant cache une personne très sensible. Kim Wook, lui est amoureux de son amie Yeo Reum pourtant, cette dernière s'intéresse à un camarade plus âgé. Et enfin, Yeo Reum à une attitude assez enfantine.  Ses quatre amis vont finir par se rapprocher les uns des autres.

     

    •◦❥• Seiyu principaux •◦❥•

     

    • Chae Min Ji (Yeo Reum)
    • Park Si Un (Yeon Woo)
    • Jeong You Jung (Ha Eun)

     

    Saison 1 & 2 :

     L'intrigue proposée ici, suit quatre personnages (deux hommes et deux femmes). On y trouve un récit simple voir classique pourtant, on accroche rapidement. Chaque protagoniste ayant un code couleur et une personnalité propre, bien que standard. Le scénario manque certes, d’originalité toutefois, côté design il se détache du lot. Les lignes sont bien définies, épurées, fluide et sans fioritures tout comme les couleurs très lumineuses. Le scénario est construit sous forme de "scénettes" correspondant au titre de l’épisode. Le format court, permet ainsi de ne pas voir le temps passé ! Les couples qui se forment évoluent, partageant leurs expériences proches de notre réalité.

     

    Avis sur l'anime A Day Before Us

     

    Saison 3 (préquel) :

     Je considère cette saison comme à part des précédentes. Outre, la présence de deux petits nouveaux, celle-ci se passe avant la fac. On a ainsi l’occasion de revenir sur le passé commun de Yeo Reum et Kim Wook. J'ai beaucoup aimé cependant, on manque hélas de temps pour apprécier les deux nouveaux. Puisqu’ils sont au final évincés par le couple vedette et manquent de profondeur. Pourtant, cela reste agréable à suivre !

     

    •◦❥• Trailer •◦❥•

     

     


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  •  En ce mardi, je vous propose de découvrir le one-shot Sa Majesté Le Chat de Kimura Akihiro. Un récit sur la relation d’un couple et de ses chats, leur en faisant voir de toutes les couleurs !

     

    Critique du one-shot : Sa Majesté Le Chat

    TomeTitre original : Neko to Geboku no Suteki na Nichijou / 猫と下僕の素敵な日常

    Titre alternatif : Neko to Geboku no Suteki na Nichijō

    Mangaka : Akihiro Kimura

    Genre : comédie - magical girl

    Type : WebComic

    Editeur : Doki - Doki

    Date de parution : 5 avril 2017

    Nombre de volume  : 1 (terminé)

    Prix : 9.90€

     

    ミ◕‿◕ミ Synopsis :

     

    Chez Akihiro Kimura, auteur de manga, on comprend vite qui commande : ce sont ses chats ! Depuis ce jour où il a ramené chez lui un premier petit chaton tout mignon, les félins règnent sur son foyer ! Ils l'empêchent de travailler, n'en font qu'à leur tête, se battent pour un rien… Ce sont eux les maîtres et lui ne semble être là que pour les servir ! Découvrez le quotidien de cinq maîtres chats et de leurs dévoués serviteurs humains… Une vie avec ses joies et ses peines et surtout pleine d’amour, de gaffes et de ronrons qui feront vibrer le cœur des amoureux des chats.

     

    Critique du one-shot : Sa Majesté Le Chat

     

    Le titre de ce one-shot, comme son nom l'indique s'adresse à un public aimant les animaux et plus particulières les chats. Le mangaka a consacré plus de dix-huit ans de sa vie à s'occuper de ses boules de poils qui le lui rendent bien enfin, pas toujours ! En effet, à travers ce livre autobiographique nous suivons son quotidien avec ses hauts et ses bas, mais toujours avec beaucoup d'humour. Il n'y a cependant, rien de révolutionnaire puisque depuis nombre d’années ce genre de manga a su séduire un lectorat, principalement féminin. Un succès qui peut s'expliquer par le côté mignon (kawaii) des chats, les dessins aux formes arrondis, les bêtises provoquées par les matous ou leurs adorables petites bouilles.

     

    Critique du one-shot : Sa Majesté Le Chat

     

    Le manga sait, aussi nous faire passer par des moments forts à travers la découverte, au fur à mesure de l'arrivée de chaque chat, par exemple. Les petits félins sont aux nombres de cinq : Sasuke l’aîné des mâles, Arashi le cadet des mâles, sa sœur Koharu la première des  femelles, Sango la deuxième des femelles et pour finir Kurumi la petite dernière. C’est ainsi, que cette énorme famille se retrouve à cohabiter sous le même toit. Entre les visites chez le vétérinaire, les amusements et les tracas, les propriétaires de chats se reconnaîtront facilement et ne pourront s'empêcher de se souvenir de ses anecdotes véridiques. L'humour, évoqué par Kimura Akihiro se traduit par le fait qu'un chat à tendance à régir la vie de ses maîtres qui se retrouvent alors dans une situation inversé.

    Critique du one-shot : Sa Majesté Le Chat 

     

    Critique du one-shot : Sa Majesté Le Chat

     

    Nous pouvons de plus, compter sur un design fluide parfois, enfantin, mais aussi des passages cultes comme la construction de l'arbre à chats ou l'expulsion des boules de poils ! Toutefois, il y a aussi des moments plus sérieux avec notamment, des explications détaillées suite à l'observation prolongée de ses petits protégés. Toutes ses petites choses qui rendent ainsi, le quotidien joyeux et vivant et qui sont d'autant plus vrai quand on possède un animal, provoquant forcement l'empathie du lecteur. Bien évidemment, ceux n'ayant pas de chat seront aussi l’apprécié puisque, sans être un documentaire ou un guide l’histoire reste à la portée de tous.

     

    ミ◕‿◕ミ Trailer :

     

     

    Source : Doki-Doki


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